mercredi 8 février 2017
lundi 6 février 2017
STEPHANE GUILLON - CERTIFIÉ CONFORME 17.02 bonlieu annecy
Stéphane Guillon l’admet volontiers, il n’imaginait pas que le show offert par la présidence Hollande serait à la hauteur de celui des cinq années passées sous Nicolas Sarkozy.
C’était sans compter sur les rocambolesques Jérôme Cahuzac, Aquilino Morel, Thévenoud, Christiane Taubira ou encore la délicieuse Valérie Trierweiler….
Alors bravant la pluie et sans casque de moto pour se dissimuler, on retrouve un Guillon égal à lui-même, toujours aussi réfractaire à la bienpensance et à l’autocensure dans un spectacle effervescent, décapant, inventif, …où il nous entraîne à rire du « grave » plutôt qu’à en pleurer, à déceler chez nous les contradictions qu’on ne reconnaisse que chez les autres et par le prisme de l’humour noir à lutter contre nos angoisses petites et grandes !
Car la « politique » stricto sensu, n’est pas, loin s’en faut, le seul sujet de prédilection de l’humoriste qui ausculte la société comme un grand corps malade, mouvant et burlesque : les enfants qui grandissent trop vite et deviennent des ados têtes à claques (alors même que la fessée est interdite !), la famille qui se compose, se recompose, se décompose, la vie qui ne se vit pas ou n’en finit pas de se finir, le mariage qui prend des couleurs mais rend livides certaines personnes peu enclines à être « gaies », le statut du beau-père, les délires sur la théorie du genre, sans oublier les religions qui ne font pas toujours du prosélytisme pour l’amour et la paix …..
Dans une époque où il semblerait qu’on ait des raisons d’avoir peur de dire ce qu’on pense, et où la liberté d’expression serait à nouveau à conquérir, le retour de Stéphane Guillon sur scène, « à ses risques et périls» (!), s’annonce dépoussiérant, rafraîchissant, libérateur et désopilant !!
C’était sans compter sur les rocambolesques Jérôme Cahuzac, Aquilino Morel, Thévenoud, Christiane Taubira ou encore la délicieuse Valérie Trierweiler….
Alors bravant la pluie et sans casque de moto pour se dissimuler, on retrouve un Guillon égal à lui-même, toujours aussi réfractaire à la bienpensance et à l’autocensure dans un spectacle effervescent, décapant, inventif, …où il nous entraîne à rire du « grave » plutôt qu’à en pleurer, à déceler chez nous les contradictions qu’on ne reconnaisse que chez les autres et par le prisme de l’humour noir à lutter contre nos angoisses petites et grandes !
Car la « politique » stricto sensu, n’est pas, loin s’en faut, le seul sujet de prédilection de l’humoriste qui ausculte la société comme un grand corps malade, mouvant et burlesque : les enfants qui grandissent trop vite et deviennent des ados têtes à claques (alors même que la fessée est interdite !), la famille qui se compose, se recompose, se décompose, la vie qui ne se vit pas ou n’en finit pas de se finir, le mariage qui prend des couleurs mais rend livides certaines personnes peu enclines à être « gaies », le statut du beau-père, les délires sur la théorie du genre, sans oublier les religions qui ne font pas toujours du prosélytisme pour l’amour et la paix …..
Dans une époque où il semblerait qu’on ait des raisons d’avoir peur de dire ce qu’on pense, et où la liberté d’expression serait à nouveau à conquérir, le retour de Stéphane Guillon sur scène, « à ses risques et périls» (!), s’annonce dépoussiérant, rafraîchissant, libérateur et désopilant !!
samedi 4 février 2017
A LIRE
« Christelle
& Co.
02
février 2017
D'abord
il y a eu les TAPFS (The Australian Pink Floyd Show), qui tutoient la
perfection, en mettent plein la vue autant que plein les oreilles, et que ma
bande de Floyds-addicts de 16 à 50+ ans suivont encore chaque année, histoire
de rester fidèles à ceux qu'on pensait inégalables. Et puis...L'année dernière,
des affiches sur les murs de Marseille...de Lyon. Tiens donc... Faut aller voir
ce p'tit groupe, d'autant plus qu'ils sont savoyards, ce qui titille mes
racines cartusiennes. Alors j'ai embarqué mon ado au Silo, et à la salle 3000.
Pour voir. Et là... Wow. Deux fois wow. En plein dans la face. Une énergie et
un plaisir d'être sur scène qui est tellement communicatif qu'il file la pêche
pour un bon bout de temps, une humilité et une proximité impressionnante, un
bon son finalement moins "parfait" mais moins prévisible et des
sourires... un vrai dialogue avec le public... Et des étoiles plein les yeux
d'un p'tit mec, qui depuis nous fait à tous les deux prendre un sourire limite
niaiseux quand on refeuillette le programme dédicacé. On a revu depuis les
TAPFS. Propres, presque froid, limite figés. On est passés pour des dingues à
essayer de faire lever le public des fauteuils. Vous nous avez manqué. Alors,
c'est décidé, on suivra les Best Of. De Marseille à Chambé en passant par Lyon,
Annecy, Evian ou n'importe, on était et on sera là, au premier rang ou au fond,
parce qu'on est devenus accro à votre bonne humeur et parce que voir des
étoiles dans les yeux de mon fiston, c'est tellement bon !!! Ne changez pas,
surtout ! Un set des Best Of équivaut à un tube de vitamines, dix boites
d'antidépresseurs et quinze d'anxiolytiques. Effets secondaires : un large
sourire dès les premières minutes, et un risque accru de dépendance. On va
demander à ce que vous soyez remboursés par la sécu. »
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