samedi 4 février 2017

A LIRE

« Christelle & Co.
02 février 2017

D'abord il y a eu les TAPFS (The Australian Pink Floyd Show), qui tutoient la perfection, en mettent plein la vue autant que plein les oreilles, et que ma bande de Floyds-addicts de 16 à 50+ ans suivont encore chaque année, histoire de rester fidèles à ceux qu'on pensait inégalables. Et puis...L'année dernière, des affiches sur les murs de Marseille...de Lyon. Tiens donc... Faut aller voir ce p'tit groupe, d'autant plus qu'ils sont savoyards, ce qui titille mes racines cartusiennes. Alors j'ai embarqué mon ado au Silo, et à la salle 3000. Pour voir. Et là... Wow. Deux fois wow. En plein dans la face. Une énergie et un plaisir d'être sur scène qui est tellement communicatif qu'il file la pêche pour un bon bout de temps, une humilité et une proximité impressionnante, un bon son finalement moins "parfait" mais moins prévisible et des sourires... un vrai dialogue avec le public... Et des étoiles plein les yeux d'un p'tit mec, qui depuis nous fait à tous les deux prendre un sourire limite niaiseux quand on refeuillette le programme dédicacé. On a revu depuis les TAPFS. Propres, presque froid, limite figés. On est passés pour des dingues à essayer de faire lever le public des fauteuils. Vous nous avez manqué. Alors, c'est décidé, on suivra les Best Of. De Marseille à Chambé en passant par Lyon, Annecy, Evian ou n'importe, on était et on sera là, au premier rang ou au fond, parce qu'on est devenus accro à votre bonne humeur et parce que voir des étoiles dans les yeux de mon fiston, c'est tellement bon !!! Ne changez pas, surtout ! Un set des Best Of équivaut à un tube de vitamines, dix boites d'antidépresseurs et quinze d'anxiolytiques. Effets secondaires : un large sourire dès les premières minutes, et un risque accru de dépendance. On va demander à ce que vous soyez remboursés par la sécu. »

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